Spécialiste des systèmes multiéléments pour le contrôle non destructif (CND) par ultrasons, la société M2M située aux Ulis (91) a fêté courant février ses 10 ans d’existence en grande pompe, en présence de plus de 200 personnes et de 35 entreprises venant de 10 pays différents. Expert dans un domaine très concurrentiel dominé par des groupes américains, M2M a réussi le pari de la croissance qui s’est récemment traduite par l’ouverture de deux filiales : M2M do Brasil à Sao Paolo et M2M China à Chengdu. Aujourd’hui, la société revendique près de 500 systèmes M2M déployés dans plus de 25 pays à travers le monde et travaille dans plusieurs secteurs industriels. Comptant pour actionnaires Tecnatom en Espagne, Karl Deutsch en Allemagne ainsi que Métalscan-Tecnatom et l’Institut de Soudure en France, M2M rassemble une quarantaine de personnes hautement qualifiées dans le contrôle non destructif, l’électronique et le génie logiciel.
M2M explique son succès par une stratégie d’innovation, de partenariats et de présence à l’international. La société a notamment tissé des partenariats importants avec de grands groupes tels que Airbus Group, Dassault-Aviation (aéronautique), Trapil et l’ISQ (pétrochimie), ou vallourec (Sidérurgie), ainsi qu’avec les équipes de R&D du CEA List.
Et pour fêter ses 10 ans, M2M a lancé un nouvel appareil du nom de Gekko, présenté comme le seul appareil du marché capable de combiner une approche multiélément classique avec des fonctionnalités avancées de type hyperfocalisation et vision 3D. C’est aussi la première fois que M2M s’attaque au marché des instruments portables. Il vise ainsi les applications de terrain allant de l'aéronautique au nucléaire, en passant par l'automobile, la sidérurgie ou bien encore la pétrochimie.