Celle-ci a pour but la révision des modalités d’accès à la bande de fréquence 2,6 GHz et la mise en place d’un dispositif visant à la structuration des plates-formes d’expérimentation sur l’ensemble du territoire national.
Six mois après la remise des conclusions de la Mission 5G industrielle, Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, en lien avec Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, a annoncé le renforcement des actions gouvernementales soutenant son développement en France.
Des actions se traduisant notamment par le lancement d’une consultation publique sur les modalités d’accès à la bande de fréquence 2,6 GHz. La Mission avait en effet rapporté que cette bande apparaissait comme « trop compliquée d’accès en raison du mode de calcul des redevances pour son attribution ». La consultation publique porte en particulier sur la modification des modalités de calcul de la redevance de mise à disposition pour un allotissement du service mobile des réseaux indépendants.
En complément de cette mesure, le gouvernement, avec le CSF (Comité stratégique de filière) « Infrastructures numériques » lance un dispositif d’animation des plates-formes françaises d’expérimentation des usages de la 5G. Au total, 21 plates-formes ont déjà été soutenues dans le cadre de la Stratégie d’accélération 5G.
