Le groupe français compte sur la poursuite d’une très forte demande pour dépasser en 2022, les niveaux record de son chiffre d’affaires, EBITA ajusté et résultat net de 2021.
Acteur majeur de l’automatisation industrielle, de la gestion de l’énergie et de la transformation numérique, le groupe français Schneider Electric vient de publier ses résultats 2021 qui font apparaître plusieurs records, notamment son chiffre d’affaires de 29 milliards d’euros, en croissance organique de 12,7 % par rapport à 2020, et son résultat net de 3,2 milliards, en hausse de 51 %.
Pour commenter ces chiffres, Jean-Pascal Tricoire, Président-Directeur général, parle d’une année 2021 marquée par des accomplissements majeurs dans un contexte de restrictions sanitaires et de tensions d’approvisionnement. Il précise que les solutions du groupe - digitales pour l’efficacité énergétique et électriques pour le développement durable - répondent à une très forte demande sur l’ensemble des quatre marchés finaux (Bâtiments, Centres de données, Infrastructure et Industrie) et dans toutes les régions.
L’an passé, le groupe a finalisé l’acquisition d’Etap, d’OSIsoft par sa filiale Aveva et de deux jeunes pousses venant consolider l’offre de logiciels de gestion de l’énergie. Il a par ailleurs continué sa stratégie de cessions, qui sera poursuivie en 2022. Il souligne également le début réussi du programme Schneider Sustainability Impact 2021-25, avec un score SSI de 3,92 sur 10 pour un objectif de 3,75.
En 2022, le groupe prévoit la poursuite d’une demande dynamique sur tous les marchés et compte, de plus, sur son offre de services, de logiciels et de développement durable pour constituer des moteurs de croissance supplémentaire. Malgré des tensions qui persistent sur la chaîne logistique et une pression accrue sur les coûts des intrants, il vise un objectif de croissance organique de son chiffre d’affaires et de sa marge d’EBITA au-delà des niveaux records atteints en 2021.