La société Oldham (Industrial Scientific) propose de prendre en charge le suivi et la maintenance d’un parc de détecteurs de gaz portables. Le service iNet s’occupe de tout ou de presque tout.
Les industriels ont bien d’autres choses à penser que la maintenance de leurs détecteurs de gaz. Oldham Industrial Scientific a mis en place pour eux une solution pour leur réduire au maximum la tâche. Le cœur de cette solution est une station de calibrage. A date prévue, l’industriel vient déposer son ou ses détecteurs sur cette station qui effectue alors le calibrage selon une procédure automatisée et programmée sur le lieu même. A partir de là, il n’a plus rien à faire. Les données d’étalonnages sont envoyées directement via Internet sur le serveur du fournisseur. Celui-ci les traite, les analyse, les archive. Toutes les semaines, il envoie à l’industriel un rapport d’état complet des détecteurs et des actions à entreprendr: détecteurs défectueux, date de péremption expirée, diagnostic prédictif… « Nous sommes capables de prévenir trois semaines avant la fin de vie d’une cellule électrochimique », précise Jean-Bernard Pruvost, directeur commercial d’Oldham Industrial Scientific. Si l’industriel le souhaite, Oldham assure également la livraison et même l’installation: gestion des cellules fixes, gestion des bouteilles de gaz étalons, gestion du parc de détecteurs… Un appareil tombant en panne sera rapidement remplacé dans les 24 ou 48 heures.
Quelle que soit la taille du parc d’équipements
L’industriel a également accès à toutes les informations via son propre serveur et un logiciel d’aide à la maintenance. Il prend la main quand il veut. « La communication se fait via un outil de type Outlook. Sans aucune possibilité pour nous d’aller en direct sur le serveur de notre client », indique Jean-Bernard Pruvost. Ce service prend la forme d’un contrat avec un loyer mensuel. Celui-ci comprend au minimum le parc de détecteurs, la station de calibrage et le logiciel. Mais d’autres options sont disponibles. « Il n’y a pas de taille critique, souligne Jean-Bernard Pruvost. Nous avons plusieurs clients qui ont tout juste trois détecteurs. »