C’est dans le cadre de l’Automobile Club de France que le français Environnement SA a célébré son 40e anniversaire, le 28 juin dernier, en présence de François Gourdon, président fondateur d’Environnement SA, de Christophe Chevillion, directeur général d’Environnement SA, d’Alexandra Dublanche, vice-présidente de la Région Ile-de-France, de Michèle Pappalardo, directrice de cabinet auprès du Ministre de la Transition écologique et solidaire, de nombreux salariés de l’entreprise, d’autres personnalités politiques, etc.
« Nous sommes aujourd’hui l’un des leaders mondiaux en contrôle de l’environnement, que ce soit pour la qualité de l’air, les émissions industrielles et maintenant le process grâce aux acquisitions stratégiques réalisées ces dernières années au Royaume-Uni et en Allemagne. Nos nouvelles solutions permettent d’optimiser des procédés de production industrielle avec pour objectif la réduction de consommation de matières premières et d’énergie, et par là même de réduire les impacts environnementaux ! », a rappelé François Gourdon.
La société emploie aujourd’hui plus de 600 personnes, le double si l’on prend en compte agents et distributeurs dans le monde. Dans le cadre de sa stratégie pour fédérer ses différentes filiales et unifier l’image d’une offre désormais globale, Environnement SA a lancé il y a quelques mois la marque envea, la raison sociale de la société étant même devenue envea au 1er juillet dernier.
Après un discours émouvant – « il me manque des personnes qui ne sont plus là, Jean-Claude Oppeneau qui m’a tant aidé et conseillé à la création de la société lorsque jeune ingénieur j’ai quitté le ministère. Je pense également à Simone Veil qui avec Serge Antoine m’a placé à la tête du Comité 21 », a indiqué François Gourdon – , les salariés présents ont eu la surprise de se voir accorder 40 actions gratuites de la société (correspondant à une somme d’environ 3 000 euros), et ce pour les 600 employés d’envea dans le monde entier. C’est d’ailleurs ce qui a fait le buzz dans la presse et sur les réseaux sociaux, et non le fait qu’une entreprise française ait réussi à devenir l’un des leaders mondiaux dans son domaine.