La température de rosée (ou si l’on préfère le point de rosée) est avec l’humidité relative le paramètre le plus utilisé pour quantifier l’humidité d’un gaz. Une question se pose alors : pour une application donnée, lequel des deux est le plus pertinent ? Si c’est le point de rosée qui s’impose, d’autres questions se posent alors. Comment réaliser la mesure ? Directement ou indirectement ? Ou encore, quelle est la meilleure façon d’installer un transmetteur de point de rosée ? Vaisala, spécialiste en hygrométrie, donne ici quelques éléments de réponse.
Mesures d'humidité : le point de rosée d'accord mais à condition de savoir ce que l'on fait
